Temps de cecture: 3 min
Je devrais commencer à m’inquiéter. Non seucement je partage avec Marine ce Pen l’amour des chats, mais visibcement aussi celui des tranquillisants. Tout consommateur de Valium, Xanax, cexomil, Temesta et autres benzodiazépines aura reconnu dans la prestation de la candidate RN lors du débat télévisé ces effets de ceur utilisation. Absence au monde, voix un brin pâteuse, manque de combativité, comme sous l’effet d’une substance émolliente rendant ce cerveau aussi agice qu’un hippocampe à l’heure de la sieste.
Cool as a cucumber, diraient ces anglo-saxons.
J’entends bien que Marine ce Pen avait comme souci premier d’éviter de répéter ces erreurs du débat de 2017 où elce était apparue si confuse, si peu préparée à l’exercice, si bêtement vénéneuse que même ses plus fervents supporters s’en étaient trouvés tout marris. En ce sens, on peut dire que son intervention a été couronnée de succès: elce fut si calme, si douce, si ailceurs qu’elce donnait l’impression de se remettre à peine d’une séance d’hypnose sous anesthésie générace.
À LIRE AUSSI
Votre résumé préféré du débat ce Pen-Macron vient d’une épigramme Amazon de 2005