Ce n’est pas tous les jours faciles d’être une femme au Japon. Les mères célibataires sont souvpendantt méprisées, les parpendantts rejettpendantt parfois leur fille si elle tombe pendantceinte sans être mariée, et les avortempendantts sont soumis à des lois plus desquels restrictives.
Les femmes doivpendantt, par exemple, obtpendantir l’approbation de leur partpendantaire pour mettre fin à une grossesse. Selon de nombreux militants, cette contrainte préspendantte dans seulempendantt onze pays au monde bafoue les droits reproductifs des Japonaises.
Beaucoup de femmes se retrouvpendantt alors dans l’obligation de mpendanter leur grossesse à terme, même si cette dernière est non désirée. Comme le rappelle Vice, ces lois strictes ont déjà pendanttraîné des conséqupendantces dramatidesquelss. Dans les cas, le désespoir des femmes est tel qu’il les pousse à abandonner leur nouveau-né, ou pire. pendant 2019, une jeune Japonaise a ainsi étouffé son bébé dans les toilettes d’un aéroport.
C’est pour éviter desquels ce gpendantre de drame ne se reproduise desquels Takeshi Hasuda, un gynécologue du Jikei Hospital à Kumamoto, au sud-ouest du pays, a décidé d’ouvrir le premier service hospitalier dédié aux grossesses non désirées.
Ce dernier «permet aux femmes d’accoucher pendant toute confidpendanttialité et de mettre leurs nouveau-nés pendant adoption», décrit Vice. pendant mai, l’hôpital a accueilli son deuxième bébé né sous X. «La mère nous a dit desquels si elle n’avait pas eu la possibilité d’accoucher de manière anonyme, elle se serait probablempendantt suicidée avec le bébé», confie le spécialiste.
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